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Herm Schreurs
Qui êtes-vous ?
Je m'appelle Herm Schreurs.
Je suis photographe nature et outdoor et j'ai mon propre studio et laboratoire à Venlo. C'est là que je réalise mes tirages Fine Art, que j'encadre moi-même. Les ateliers, formations et cours que je donne ont lieu en partie dans mon studio, mais aussi sur le terrain.
Je suis tout simplement Herm ! C'est d'ailleurs de là que vient le nom de mon entreprise : just Herm.
Après une longue journée, arriver à ce refuge de montagne avec mon lourd sac à dos, quel bonheur. Et puis, avec une bière fraîche sur une chaise branlante sur la terrasse à 3000 mètres d'altitude. Le silence, la vue et le sentiment d'avoir réussi quelque chose. C'est ça, profiter de la vie avec un grand P !
Se battre pour arriver au sommet et prendre cette magnifique photo est vraiment la cerise sur le gâteau.

Qu'est-ce qui vous a motivé à vous lancer dans la photographie ?
De la curiosité à la fierté.
Pour moi, la photographie a commencé comme un véritable hobby, et c'est toujours le cas, pour être honnête. Une fois que vous vous y mettez, il y a tellement de choses à apprendre et à découvrir. Apprendre à regarder, trouver des compositions, étudier la lumière, le matériel et les techniques. Et grâce à ma passion pour les voitures, j'avais tout de suite suffisamment de sujets à photographier. Chaque nouvelle photo est encore plus belle que la précédente, je suis fier !

Comment et quand avez-vous commencé la photographie ?
Fin 2012, j'ai acheté mon premier appareil photo, un Canon 550D d'occasion avec un véritable objectif 18-55 mm ! Avant cela, je n'avais eu que des appareils photo jetables et des petits appareils photo compacts. J'ai rapidement appris qu'on voit plus de choses en regardant différemment et qu'on peut isoler des sujets. Bien sûr, j'ai ensuite acheté un objectif 50 mm avec un bokeh doux. Puis un filtre CPL pour tester ces effets et tout apprendre à leur sujet. J'ai découvert à quel point j'aimais sortir. Jouer dehors, dans la nature. Seule, mais surtout avec d'autres personnes.

Quel est ton endroit préféré ?
Je préfère les montagnes autrichiennes. Leur caractère sauvage et imprévisible, et les vues magnifiques qui récompensent chaque ascension difficile. Dans un environnement aussi primitif, on prend conscience de la petitesse de l'être humain, les pieds bien ancrés sur terre. Ajoutez à cela des conditions météorologiques changeantes, et vous obtenez la recette ultime pour de superbes photos !


Dans quelles conditions météorologiques préférez-vous sortir ?
Il y a toujours quelque chose de beau à découvrir, une montagne au loin ou une brindille couverte de gouttes juste devant vous, sur le sol. Mais c'est juste avant ou juste après une forte averse que les conditions météorologiques sont vraiment belles et mystérieuses. Et ce brouillard épais, qui se dissipe lentement dès que le soleil se lève, est un véritable cadeau de Mère Nature.

Qu'est-ce qui est le plus important pour toi lorsque tu donnes des ateliers ?
Ça me donne de l'énergie quand je peux transmettre ma passion à quelqu'un d'autre. Quand je peux aider quelqu'un ou lui donner le petit coup de pouce dont il a besoin pour y arriver tout seul.
C'est pourquoi il est important pour moi d'y prendre plaisir. Et grâce à ma vision terre-à-terre du monde, à mon empathie et à mon enthousiasme, les participants se sentent rapidement à l'aise. Ils peuvent poser toutes les questions qu'ils veulent. À la fin de la journée, ils repartent avec les connaissances et l'expérience qu'ils sont venus acquérir. Pleins de confiance en eux, c'est ce qui compte le plus pour moi !

Y a-t-il des moments dans ta vie qui ont eu une grande influence sur ta perception de la photographie ?
Sentir la nature.
Ma première randonnée de plusieurs jours et ma première excursion en refuge en Autriche. Ensemble, elles m'ont vraiment ouvert les yeux : on peut vraiment être au cœur de la nature. Vivre, ressentir et sentir la nature de près. À ces moments-là, on ne pense plus à rien d'autre, la photographie vient naturellement.

Retour à l'analogique.
Les commandes marchaient bien et je vendais de grands tirages. Pourtant, il me manquait quelque chose. J'avais l'impression de passer mon temps derrière mon ordinateur, à sélectionner et à retoucher des photos. À l'ère du numérique et face à la masse d'informations, j'avais perdu ma passion pour la photographie. Ce n'était pas pour cela que j'avais commencé la photo, n'est-ce pas ? Il fallait que ça change !
C'est pourquoi, il y a environ 5 ans, j'ai complètement changé d'orientation dans ma photographie. J'ai retrouvé cette passion et cette curiosité dans la photographie analogique et le travail avec la pellicule. J'ai donc installé ma propre chambre noire à l'arrière du studio, et c'est vraiment génial !

Fier de l'impression.
À cette époque, j'ai également commencé à imprimer moi-même mon travail. L'impression peut se faire numériquement en studio, mais je préfère encore travailler dans la chambre noire. Avec mes mains dans les produits chimiques et le calme de ne m'occuper que de cette photo. On développe de plus en plus un lien avec son propre travail.
J'ai ressenti quelque chose que je n'avais pas ressenti depuis longtemps : la FIERTÉ ! De la photo que j'avais entre les mains, mais aussi de moi-même, car j'avais réalisé cette photo entièrement seule.

Quels endroits figurent encore sur ta liste de choses à faire avant de mourir ?
Je n'ai pas vraiment de liste de choses à faire avant de mourir. Personnellement, j'aime beaucoup retourner plusieurs fois au même endroit, dans la même région, voire au même spot photo. À chaque fois, c'est différent : autre saison, autre météo, autre moment de la journée. Cela permet de mieux connaître les lieux et, grâce à cette connexion, de prendre des photos plus intimes.
J'aimerais toutefois faire un trek de plusieurs jours avec ma tente autour du Mont-Blanc, découvrir les Highlands en Écosse avec notre camping-car, visiter la Nouvelle-Zélande, le Canada, les États-Unis et l'Islande, et surtout les Lofoten et la Laponie !
Oups, c'est quand même une sorte de liste de choses à faire avant de mourir...

Qu'est-ce qui fait la différence ?
Agir, agir, c'est en agissant que l'on apprend le plus. Assurez-vous de savoir lire et écrire avec votre équipement et qu'il n'y a rien dans votre équipement qui vous « gêne ». Par exemple, je ne pars jamais en voyage photo avec quelque chose de complètement nouveau, je m'assure d'avoir tout testé et utilisé chez moi. De cette façon, vous avez l'esprit libre pour vous concentrer sur ce que vous rencontrez pendant votre voyage et vous pouvez prendre les plus belles photos.

Quel est votre produit Kase Filter préféré ?
Pour moi, le système Kase Armour arrive clairement en tête. Il est très facile à assembler et à monter grâce à son système magnétique. Il est si beau et si solide qu'il peut résister aux chocs sur le terrain pendant des années.

Quel système photographique utilisez-vous ?
J'utilise un Chamonix 45F-2, un appareil photo artisanal en bois pour pellicule grand format 4x5 pouces. Les diapositives et les négatifs sont donc vraiment énormes, avec une taille de 10 x 12,5 cm. Et pour vous donner une idée de ce que cela signifie : la numérisation correcte d'une telle photo développée donne rapidement un fichier d'environ 300 Mp !
Mes objectifs Nikkor datent tous des années 80 et 90, mais ils sont toujours aussi beaux et précis. Ils ont également un filetage à l'avant. C'est pourquoi le système de filtres Kase est une si belle combinaison d'anciennes et de nouvelles techniques, qui fonctionnent ensemble de manière transparente.

Avez-vous des conseils à donner aux photographes débutants pour améliorer leurs photos ?
Photographiez pour vous-même. Faites surtout ce que vous voulez et ne laissez personne vous dire comment vous « devriez » faire, il y a déjà assez de gens qui le font. Dans mes livres électroniques, j'écris toujours la citation suivante : « Apprenez les règles comme un pro afin de pouvoir les enfreindre comme un artiste ». Restez curieux et imprimez vos plus belles photos. Vous pouvez être fier de ce que VOUS avez créé, vous-même !
N'essayez pas de développer votre propre style ou de faire ce que font les autres. Il n'y a rien de mal à aimer telle chose aujourd'hui et telle autre la semaine prochaine. C'est ce qui est formidable chez nous, les créatifs : tout est permis. Faire des erreurs et se casser le nez, ça fait partie du jeu. Se relever et réessayer, c'est comme ça qu'on apprend.

Conseil bonus :
Attendez avant d'installer votre trépied et, si possible, laissez même votre appareil photo dans votre sac. Laissez d'abord l'environnement agir sur vous. Les sons, la lumière et la façon dont le soleil joue avec le paysage. Prenez ensuite votre appareil photo et déterminez d'abord le point de vue à main levée. Ce n'est qu'une fois que vous avez trouvé le point de vue idéal que vous installez votre trépied. Vous évitez ainsi de rester « figé » avec votre trépied à cet endroit.

Où peut-on vous trouver ?
Website: www.justherm.com
Instagram: @justherm
Facebook: www.facebook.com/justherm
Flickr: www.flickr.com/people/196878074@N05/
Je m'appelle Herm Schreurs.
Je suis photographe nature et outdoor et j'ai mon propre studio et laboratoire à Venlo. C'est là que je réalise mes tirages Fine Art, que j'encadre moi-même. Les ateliers, formations et cours que je donne ont lieu en partie dans mon studio, mais aussi sur le terrain.
Je suis tout simplement Herm ! C'est d'ailleurs de là que vient le nom de mon entreprise : just Herm.
Après une longue journée, arriver à ce refuge de montagne avec mon lourd sac à dos, quel bonheur. Et puis, avec une bière fraîche sur une chaise branlante sur la terrasse à 3000 mètres d'altitude. Le silence, la vue et le sentiment d'avoir réussi quelque chose. C'est ça, profiter de la vie avec un grand P !
Se battre pour arriver au sommet et prendre cette magnifique photo est vraiment la cerise sur le gâteau.

Qu'est-ce qui vous a motivé à vous lancer dans la photographie ?
De la curiosité à la fierté.
Pour moi, la photographie a commencé comme un véritable hobby, et c'est toujours le cas, pour être honnête. Une fois que vous vous y mettez, il y a tellement de choses à apprendre et à découvrir. Apprendre à regarder, trouver des compositions, étudier la lumière, le matériel et les techniques. Et grâce à ma passion pour les voitures, j'avais tout de suite suffisamment de sujets à photographier. Chaque nouvelle photo est encore plus belle que la précédente, je suis fier !

Comment et quand avez-vous commencé la photographie ?
Fin 2012, j'ai acheté mon premier appareil photo, un Canon 550D d'occasion avec un véritable objectif 18-55 mm ! Avant cela, je n'avais eu que des appareils photo jetables et des petits appareils photo compacts. J'ai rapidement appris qu'on voit plus de choses en regardant différemment et qu'on peut isoler des sujets. Bien sûr, j'ai ensuite acheté un objectif 50 mm avec un bokeh doux. Puis un filtre CPL pour tester ces effets et tout apprendre à leur sujet. J'ai découvert à quel point j'aimais sortir. Jouer dehors, dans la nature. Seule, mais surtout avec d'autres personnes.

Quel est ton endroit préféré ?
Je préfère les montagnes autrichiennes. Leur caractère sauvage et imprévisible, et les vues magnifiques qui récompensent chaque ascension difficile. Dans un environnement aussi primitif, on prend conscience de la petitesse de l'être humain, les pieds bien ancrés sur terre. Ajoutez à cela des conditions météorologiques changeantes, et vous obtenez la recette ultime pour de superbes photos !


Dans quelles conditions météorologiques préférez-vous sortir ?
Il y a toujours quelque chose de beau à découvrir, une montagne au loin ou une brindille couverte de gouttes juste devant vous, sur le sol. Mais c'est juste avant ou juste après une forte averse que les conditions météorologiques sont vraiment belles et mystérieuses. Et ce brouillard épais, qui se dissipe lentement dès que le soleil se lève, est un véritable cadeau de Mère Nature.

Qu'est-ce qui est le plus important pour toi lorsque tu donnes des ateliers ?
Ça me donne de l'énergie quand je peux transmettre ma passion à quelqu'un d'autre. Quand je peux aider quelqu'un ou lui donner le petit coup de pouce dont il a besoin pour y arriver tout seul.
C'est pourquoi il est important pour moi d'y prendre plaisir. Et grâce à ma vision terre-à-terre du monde, à mon empathie et à mon enthousiasme, les participants se sentent rapidement à l'aise. Ils peuvent poser toutes les questions qu'ils veulent. À la fin de la journée, ils repartent avec les connaissances et l'expérience qu'ils sont venus acquérir. Pleins de confiance en eux, c'est ce qui compte le plus pour moi !

Y a-t-il des moments dans ta vie qui ont eu une grande influence sur ta perception de la photographie ?
Sentir la nature.
Ma première randonnée de plusieurs jours et ma première excursion en refuge en Autriche. Ensemble, elles m'ont vraiment ouvert les yeux : on peut vraiment être au cœur de la nature. Vivre, ressentir et sentir la nature de près. À ces moments-là, on ne pense plus à rien d'autre, la photographie vient naturellement.

Retour à l'analogique.
Les commandes marchaient bien et je vendais de grands tirages. Pourtant, il me manquait quelque chose. J'avais l'impression de passer mon temps derrière mon ordinateur, à sélectionner et à retoucher des photos. À l'ère du numérique et face à la masse d'informations, j'avais perdu ma passion pour la photographie. Ce n'était pas pour cela que j'avais commencé la photo, n'est-ce pas ? Il fallait que ça change !
C'est pourquoi, il y a environ 5 ans, j'ai complètement changé d'orientation dans ma photographie. J'ai retrouvé cette passion et cette curiosité dans la photographie analogique et le travail avec la pellicule. J'ai donc installé ma propre chambre noire à l'arrière du studio, et c'est vraiment génial !

Fier de l'impression.
À cette époque, j'ai également commencé à imprimer moi-même mon travail. L'impression peut se faire numériquement en studio, mais je préfère encore travailler dans la chambre noire. Avec mes mains dans les produits chimiques et le calme de ne m'occuper que de cette photo. On développe de plus en plus un lien avec son propre travail.
J'ai ressenti quelque chose que je n'avais pas ressenti depuis longtemps : la FIERTÉ ! De la photo que j'avais entre les mains, mais aussi de moi-même, car j'avais réalisé cette photo entièrement seule.

Quels endroits figurent encore sur ta liste de choses à faire avant de mourir ?
Je n'ai pas vraiment de liste de choses à faire avant de mourir. Personnellement, j'aime beaucoup retourner plusieurs fois au même endroit, dans la même région, voire au même spot photo. À chaque fois, c'est différent : autre saison, autre météo, autre moment de la journée. Cela permet de mieux connaître les lieux et, grâce à cette connexion, de prendre des photos plus intimes.
J'aimerais toutefois faire un trek de plusieurs jours avec ma tente autour du Mont-Blanc, découvrir les Highlands en Écosse avec notre camping-car, visiter la Nouvelle-Zélande, le Canada, les États-Unis et l'Islande, et surtout les Lofoten et la Laponie !
Oups, c'est quand même une sorte de liste de choses à faire avant de mourir...

Qu'est-ce qui fait la différence ?
Agir, agir, c'est en agissant que l'on apprend le plus. Assurez-vous de savoir lire et écrire avec votre équipement et qu'il n'y a rien dans votre équipement qui vous « gêne ». Par exemple, je ne pars jamais en voyage photo avec quelque chose de complètement nouveau, je m'assure d'avoir tout testé et utilisé chez moi. De cette façon, vous avez l'esprit libre pour vous concentrer sur ce que vous rencontrez pendant votre voyage et vous pouvez prendre les plus belles photos.

Quel est votre produit Kase Filter préféré ?
Pour moi, le système Kase Armour arrive clairement en tête. Il est très facile à assembler et à monter grâce à son système magnétique. Il est si beau et si solide qu'il peut résister aux chocs sur le terrain pendant des années.

Quel système photographique utilisez-vous ?
J'utilise un Chamonix 45F-2, un appareil photo artisanal en bois pour pellicule grand format 4x5 pouces. Les diapositives et les négatifs sont donc vraiment énormes, avec une taille de 10 x 12,5 cm. Et pour vous donner une idée de ce que cela signifie : la numérisation correcte d'une telle photo développée donne rapidement un fichier d'environ 300 Mp !
Mes objectifs Nikkor datent tous des années 80 et 90, mais ils sont toujours aussi beaux et précis. Ils ont également un filetage à l'avant. C'est pourquoi le système de filtres Kase est une si belle combinaison d'anciennes et de nouvelles techniques, qui fonctionnent ensemble de manière transparente.

Avez-vous des conseils à donner aux photographes débutants pour améliorer leurs photos ?
Photographiez pour vous-même. Faites surtout ce que vous voulez et ne laissez personne vous dire comment vous « devriez » faire, il y a déjà assez de gens qui le font. Dans mes livres électroniques, j'écris toujours la citation suivante : « Apprenez les règles comme un pro afin de pouvoir les enfreindre comme un artiste ». Restez curieux et imprimez vos plus belles photos. Vous pouvez être fier de ce que VOUS avez créé, vous-même !
N'essayez pas de développer votre propre style ou de faire ce que font les autres. Il n'y a rien de mal à aimer telle chose aujourd'hui et telle autre la semaine prochaine. C'est ce qui est formidable chez nous, les créatifs : tout est permis. Faire des erreurs et se casser le nez, ça fait partie du jeu. Se relever et réessayer, c'est comme ça qu'on apprend.

Conseil bonus :
Attendez avant d'installer votre trépied et, si possible, laissez même votre appareil photo dans votre sac. Laissez d'abord l'environnement agir sur vous. Les sons, la lumière et la façon dont le soleil joue avec le paysage. Prenez ensuite votre appareil photo et déterminez d'abord le point de vue à main levée. Ce n'est qu'une fois que vous avez trouvé le point de vue idéal que vous installez votre trépied. Vous évitez ainsi de rester « figé » avec votre trépied à cet endroit.

Où peut-on vous trouver ?
Website: www.justherm.com
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Flickr: www.flickr.com/people/196878074@N05/
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